Trésors de ma bibliothèque
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Agerruj n temkerḍit-iw
Livres en langue française :
Mohia. Esquisses d'un portrait / Revue TIFIN. Paris : Tifin éditions. Réédité par : Achab éditions : Tizi Ouzou, 2011
La littérature berbère n'a jamais connu d'auteur plus prolifique ! La profondeur de cette œuvre invite à une investigation sérieuse.
Mohia n'a jamais aimé qu'on parle de lui et s'il avait fallu le suivre, toutes les choses qu'il a produites n'étaient que des "bêtises" qui n'avaient pas beaucoup d'intérêt et qui au mieux n'ont été faites que pour divertir et passer le temps.
Pourquoi alors évoquer un homme qui n'a jamais voulu être sous les feux de la rampe, même quand il faisait du théâtre, un créateur dont la modestie n'avait d'égale que la rigueur? Est-ce aller contre sa volonté que de parler de lui? Que de montrer combien la qualité de ce qu'il a fait, malgré ce qu'il en dit, contraste singulièrement avec la production littéraire kabyle actuelle? Que de vouloir faire connaître un homme et une œuvre qui sont malheureusement peu connues des jeunes générations?
Cet ouvrage est une somme d'évocations d'hommes qui ont fréquenté ou connu Mohia à l'image de : Saïd Doumane, Amar Mezdad et de Said Chemakh ; et d'études sur son œuvre dont voici le sommaire :
• Evocations
• Mohia 1970, le groupe d'études Berbères
• Mohia 80, l'homme et Théâtre
• Mohia 90, le groupe de traduction
• Articles
• Documents
• Mots Berbères
• Créations
• Lectures
Synthèse des sources faite par: Maison de la Culture Mouloud MAMMERI de Tizi-Ouzou
Note : ce livre est disponible au niveau de la bibliothèque de notre établissement.
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Agerruj n temkerḍit-iw
Livres en langue française :
Mohia. Esquisses d'un portrait / Revue TIFIN. Paris : Tifin éditions. Réédité par : Achab éditions : Tizi Ouzou, 2011
La littérature berbère n'a jamais connu d'auteur plus prolifique ! La profondeur de cette œuvre invite à une investigation sérieuse.
Mohia n'a jamais aimé qu'on parle de lui et s'il avait fallu le suivre, toutes les choses qu'il a produites n'étaient que des "bêtises" qui n'avaient pas beaucoup d'intérêt et qui au mieux n'ont été faites que pour divertir et passer le temps.
Pourquoi alors évoquer un homme qui n'a jamais voulu être sous les feux de la rampe, même quand il faisait du théâtre, un créateur dont la modestie n'avait d'égale que la rigueur? Est-ce aller contre sa volonté que de parler de lui? Que de montrer combien la qualité de ce qu'il a fait, malgré ce qu'il en dit, contraste singulièrement avec la production littéraire kabyle actuelle? Que de vouloir faire connaître un homme et une œuvre qui sont malheureusement peu connues des jeunes générations?
Cet ouvrage est une somme d'évocations d'hommes qui ont fréquenté ou connu Mohia à l'image de : Saïd Doumane, Amar Mezdad et de Said Chemakh ; et d'études sur son œuvre dont voici le sommaire :
• Evocations
• Mohia 1970, le groupe d'études Berbères
• Mohia 80, l'homme et Théâtre
• Mohia 90, le groupe de traduction
• Articles
• Documents
• Mots Berbères
• Créations
• Lectures
Synthèse des sources faite par: Maison de la Culture Mouloud MAMMERI de Tizi-Ouzou
Note : ce livre est disponible au niveau de la bibliothèque de notre établissement.
Publié le
Mardi 08 Décembre 2020
Mardi 08 Décembre 2020